Il n'y a jamais assez d'un peu trop là-bas. Mais trop n'est jamais assez pour peu là-bas. Et jamais n'est trop peu pour assez là-bas. A la suspension des finales. Sur la route du cheval dada.
Il se trouvait au fond de la poche-tiroir du mannequin abandonné. Entre les floches de la ficelle tendre de grand-mère padrie, il pleurait. Son suffixe dans le calendrier abandonné au mois de septembre n'est plus bordeline. Pratiquement, oh joie, des...
J'enseigne du je-ne-sais-pas-combien au je-ne-sais-pas-non-plus. Danse provencale sous salière pleine. Rumba tropiquale avec cube-canard. Fox-trop africain sans brosse wc. Pour le modique somme de un sous moins le quart du dixème. Une aubaine !
Je suis l'enfant de la butte d'hiver. Comme le cri de l'oiseau-lyre. Les lunes fécondes du printemps. Emporte les vents du beffroi. Élucubrations églantines gentilles. De la couche aurore abyssale. Rouleaux de printemps dégarnis. Et laine du tricot emprunté...
Des pendus qui dansent dans le vent soutenus par leurs cordes-chaînes. Et sous des viscères jardinières, toujours un tas de pannes chairs humaines. Vide des pieds qui ne peuvent pas atteindre parterre et les carreaux aiguisés. Les chaises immolées de...
Un savoir relatif absolu concordant avec un lot aseptisé d'un sexy sushi électrique. Traîneau hivernal sur l'austérité morbide de l'automne des frondaisons syllabiques. Volupté mentholée chimérique sous paquets déclarables des soirées solitaires. Rangement...
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J'ai une langue tranchante qui coupe les boulets en exsangue. Épileptique l'anathème des cons vomitifs choqués de la moindre concave réflexion. Sous le manteau froid démantibulé de la convexe attitude des bisounours qui aiment mielleusement à la santé...
Je suis belle et rebelle mais mes talons-hauts vous prennent de haut. Trame libérée. Numéro 1021. Octobre 2008.
Assis sur la roche, je vois l'océan tourmenté vacillant dans tous les sens. En plein milieu de celui-ci, la moitié d'une grande roue géante rouillée. Éjecter les passagers indésirables de la nacelle jusqu'à la pendaison-noyade. Sourire obliquement devant...
Elle aimait les portes multicolores et s'amusait à les claquer avec ses pieds cornus. Sans ranger sa vaisselle périmée sale, elle claquemurait les dents de ses amis avec du papier cellophane. Elle était une petite fille gagate et tout le monde dans le...
