Il n'y a jamais assez d'un peu trop là-bas. Mais trop n'est jamais assez pour peu là-bas. Et jamais n'est trop peu pour assez là-bas. A la suspension des finales. Sur la route du cheval dada.
Un grand tourbillon scandant le zéphyr, faisant voltiger les oiseaux, les corbeilles et papiers dans l'air. Seuil métallique couché à terre de chaines attrapant oiseaux, chaises, papiers de tous les cotés et vibrant le ciel. Tourmenté des vents et tourmenté...
/idata%2F2194399%2F%2Fsurrealisme.jpg)
Dans la poesie surréaliste, on trouve beaucoup de thèmes qui reviennent. Les écrivains utilisent les images indefinites, et ils ne suivent pas de règles. Souvent, les poèmes ont le ton d’un rêve, et on trouve beaucoup d’allusion à la nature, au silence,...
Une boite-bocal, placée sur une étagère métallique, dans laquelle se trouvent des petits morceaux de doigts coupés en coupeaux de bois mangeant vers-de-clous Une autre boite oblongue, longue et dure entre-ouverte, laissant sortir une jambe amputée de...
Une horde de bannières voraces mais aimantes des propagations de la masse. Une multitude de flashs intempestifs prodiguant des retours de liens morts mais l'utilité de suivre la voie tracée de l'existentialisme sermonné échappe les règles. Du marché et...
Un portable désabusé aux touches usées tourne sur lui-même au bord de la table. Bip signalétique d'un texto-sms venu de chez inconnu. Annonce semi-lol d'une petite gamine de douze ans attardée déficiente de la société mais pas mentale. Kikou cerise d'une...
Fenêtres fermées sur cour ouverte jonchant le sol humide et putréfiant. Un arbre aux papillons violet, pourpre, noir et blanc à quatre heure vingt-cinq. Clou domine le mur non entretenu de la chaud calcareuse non entretenue. Petit vent frais et doux emportant...
J'ai des orgasmes psychorigides plastiques au fond de ma colonne vertébrale cervicale niveau A1-A12 Niveau trois de l'osier dépité qu'il ne peut point toucher la saveur austère des amertumes. Jambes oblongues alourdies des fourmillements paniques et despotiques...
Des doux coussinets feutrés qui clap-clapent au grès du temps qui passe. Miaulement romantique sous le chatoiement des baies vitrées éblouies. Petite boule de poil ronde douillette qui tire la laine du peigne oublié. Pirouettes gigantesques sur des branches...
Dernier coup de balais cuivré par la pieuvre du manche qui glousse un tas de papiers et poussières inutiles au parquet. Un étroit carré mur blanc sous lequel est posée une diabolique photocopieuse crachant sa haine noire en poudre de tonner. Multitude...
Kikousous bisous des amoureux potiches des blancs acrostiches d'un ennui viscéral dans le parc. Embrassade dégoulinante de salive infectée au sucre d'orge cuit à forte pression vapeur. Connexion platonique des yeux de merlan fris baignant dans le mièvre...
