La grippe qui puait le poisson.
Avoir. La grippe. Un 1er avril. La bonne blague. Hahaha.
Il n'y a jamais assez d'un peu trop là-bas. Mais trop n'est jamais assez pour peu là-bas. Et jamais n'est trop peu pour assez là-bas. A la suspension des finales. Sur la route du cheval dada.
Avoir. La grippe. Un 1er avril. La bonne blague. Hahaha.
Le plus court a tué. La porte de l'hiver. Quand vient l'autre. Mois de la colère. Si mal que le 28. Berce la vie du 1er. Quand percent les jours. Du mouvant calendrier.
Un jour un garçon m'a dit : je croyais que tu m'aurais crevé les yeux. Et c'était vrai. J'aurais du. La banc abandonné du parc se souvient encore du sang coulé sur lui. *effrois* Une nuit une fille m'a dit : je croyais que tu m'aurais lacéré le visage....
Ce qui reste et ce qui part dans les tourbillons amers. Ce qui part et ce qui reste dans les cotillons sucrés. Sur le firmament des brumes, je ne peux voir l'affreux précipice des soliloques s'engouffrant dans l'horrible crevasse des joyaux dissous en...
Il se trouvait au fond de la poche-tiroir du mannequin abandonné. Entre les floches de la ficelle tendre de grand-mère padrie, il pleurait. Son suffixe dans le calendrier abandonné au mois de septembre n'est plus bordeline. Pratiquement, oh joie, des...
Mardi susurre de manière inquiétante la perte de son organisé voisin lundi qui perpendiculairement est un volage sans nom d'inquiétude au dessus d'Oslo. Dimanche est sans dessus dessous… il pleure des larmes jaunes remplie d'acide au bromure de carbone...