Ramène-moi à la maison une toute dernière fois.
Une bifurcation alambiquée d’où sortent une multitude de quidams laissant trainer derrière-eux, les souvenirs cartonnés.
La joie parquée des voitures rangées fracturées par le chêne séculaire fracassant sans pitié les portières mal rangées.
Eclosions chimériques des égouttoirs laissant passer en leurs siens, une flopée d'eau mousseuse grisée par la pollution aérienne due au chlorure de carbone.
Ondulations envoutantes de la rue à pavés se tortillant de plaisir sous le regard coupelle des fenêtres heureuses.
Eglise lointaine sonnant le glas des hirondelles passées en coup de vent derrière le chapiteau multicolore des troubadours de la parole.
Passage pour piétons désaxé sous la multitude profusion des semelles gratifiantes qui claquent de derrière en avant et réciproquement.
Onde de choc dans le ciel laissant exploser le tourbillon intersidéral de l'espace temps laissant sortir de là une journée routinière.
Chute assourdissante d'un nouveau piano en plein milieu de trafic causé par le policer factice du quartier.
Vie derrière l'œil-de-bœuf regardant par-dessus les multitudes choix que la connaissance de la rue lui impose ici-bas.
Un allé-simple pour les rumeurs de rue derrière la porte phacochère à l'immeuble rougit par les déclarations des tags indélébiles.
Entraîné à marcher au coin de la Rue Marchecadeau et Rue Marchepied avant de contourner le square abandonné des enfants.
Rires et pleures dans le vent berçant les façades d'une ville à jamais éperdue de l'affliction profonde des souvenirs transparents.
Et regarder une toute dernière fois derrière soi avant de rentrer pour la toute première fois derrière la maison des espoirs.
La joie parquée des voitures rangées fracturées par le chêne séculaire fracassant sans pitié les portières mal rangées.
Eclosions chimériques des égouttoirs laissant passer en leurs siens, une flopée d'eau mousseuse grisée par la pollution aérienne due au chlorure de carbone.
Ondulations envoutantes de la rue à pavés se tortillant de plaisir sous le regard coupelle des fenêtres heureuses.
Eglise lointaine sonnant le glas des hirondelles passées en coup de vent derrière le chapiteau multicolore des troubadours de la parole.
Passage pour piétons désaxé sous la multitude profusion des semelles gratifiantes qui claquent de derrière en avant et réciproquement.
Onde de choc dans le ciel laissant exploser le tourbillon intersidéral de l'espace temps laissant sortir de là une journée routinière.
Chute assourdissante d'un nouveau piano en plein milieu de trafic causé par le policer factice du quartier.
Vie derrière l'œil-de-bœuf regardant par-dessus les multitudes choix que la connaissance de la rue lui impose ici-bas.
Un allé-simple pour les rumeurs de rue derrière la porte phacochère à l'immeuble rougit par les déclarations des tags indélébiles.
Entraîné à marcher au coin de la Rue Marchecadeau et Rue Marchepied avant de contourner le square abandonné des enfants.
Rires et pleures dans le vent berçant les façades d'une ville à jamais éperdue de l'affliction profonde des souvenirs transparents.
Et regarder une toute dernière fois derrière soi avant de rentrer pour la toute première fois derrière la maison des espoirs.