Abandonnant ainsi les cas sociaux paranoïaques.

Publié le par Steve

Crises d’égocentrisme profondes du faux sympa ne vivant que de virtualité et de recherches d’attention.

Crises de stupidité de la fille hystérique vivant totalement dans l’abandon perpétuel et du nombrilisme.

Crises d’idémiste d’un étudiant psychologue has-been fumant du nawak et buvant du rhum à l’heure pour.

Crises de bouffonnerie d’un blaireau myope voulant faire des blagues pas drôles à la graisse des boutons.

 

Idiotie.

Idiotie.

Idiotie.

 

Le premier se suicidera au premier reformatage tournoyant comme des gouttes d’accréditation.

La seconde hurlera de démence capricieuse au moindre refus qui la poussera dans le vide glacial.

Le troisième se vexera en cherchant couleur azur vers des cieux pas très clair de sauvagerie.

Le quatrième se perdra dans les rames profondes des lignes de transport qui ne mènent nulle part.

 

Bêtise.

Bêtise.

Bêtise.

 

Les cas sociaux mangent à l’heure fixe ce que l’on donne et conditionne.

Les cas sociaux écrivent un peu partout pour se montrer afin de regards portés.

Les cas sociaux rêvent de gloire éphémère en croyant tout savoir faire pour les autres.

Les cas sociaux pensent être les prémices du profond savoir de la hors cause de leur eux.

 

Stupidité.

Stupidité.

Stupidité.

 

La toge violette à plusieurs fois tournée afin de purifier éléments troublés et corrompus.

La toge violette à plusieurs fois fait valser l’horreur négative des monstres d’égo tourmentés.

La toge violette à plusieurs fois emporter l’horreur de ce qui a été corrompu jadis et autrefois.

La toge violette a bien travaillé, elle peut se reposer.

 

Joie.

Joie.

Joie.

 

Les cas sociaux sont laids.

Les cas sociaux sont vides.

Les cas sociaux sont cons.

Les cas sociaux sont parano.

Publié dans Cheval dada

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<br /> Ça existe encore ce genre de truc ?<br /> Tain ça n'a pas évolué d'un iota !<br /> <br /> <br />
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