Contre toute attente ce n'est pas ici là-bas.

Publié le par Aplapsie

Je suis soutenu dans le fond comme la lune qui gravite.

Dans la partie traumatique, des poissons qui palpitent.

Astique le neurasthénique qui sans rêves coule sous la trombe élastique.

 

Des gouttes qui ploquent rouges de toutes les couleurs dans le plafond sans fond.

Des chevaux de bois rouges qui se moquent éparpillés partout.

Mars qui dance et flanche au dessus des épaules.

 

Un cadeau papier râpé se noye dans le lac bleu pas profond cyan séant.

Un cerceau pas beau  bleu qui se fracasse sous les courbes bleues des carreaux.

Neptune qui se fracasse en point de chute verticale.

 

Un pantin malin qui vert de vessie s'autotomie les cordes des voutes.

La statue verte acide des abcédées tourne comme le carillon du gravillon

Uranus qui lave la liberté de la presse en convexe.

 

Le cerf volant tourne déroule s'écoule maboule dans la foule qui s'écoule.

Des escaliers qui montent et qui descendent de la gaze jaune de Lazare.

Jupiter qui mange ses dents d'un air aseptisant. 

 

Barbie fagotée orange la grosse pomme n'a pas l'heure en fait

L'éthicienne qui arrache, malaxe la peau des oranges de la voisines.

Saturne qui s'effrite des morceaux de chèvres volantes du cosmos au clapier.

 

Une voiture de course violette tourne sous la terre et mange le vélo.

Les rideaux violacés s'ouvraient en fenêtres fermées devant ouverte ici à coté.

Pluton qui coup de pied en l'air s'en va dégoulinant de tiques.

 

Des rêves que l'on voit partout en bas du haut du coté en dessus du bas coté.

Les songes qui vont et va viennent au coin de la bouche quand le ça dort.

Eveillé ou endormis je rêve en décalquant mes rêvés éblouis.

 

Pour y entendre et voir le monde comme cela

Publié dans Cheval dada

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